Waiting on planes

<2019-09-27 Fri>

Waiting. It’s oddly exhausting. Sometimes I find it hard to actually do anything when I am in between, times, places, projects.

The Good Place.

When that happens, it is usually the equivalent of riding up the first hill of a roller-coaster that I don’t see coming. Or walking along the cliffs of Dover with my back to the sea. It is right under my nose, and it takes only a whiff in the right direction and I follow my nose right over.

<2019-09-28 Sat>

21h49

Cette vidéo de Arte.

Surtout les morceaux qui s’agitent de la mine près de Cologne. Ses excavatrices géantes ont créé un trou immense ; à ce que je ne peux même ni comprendre ni assimiler cette idée.C’est vraiment impressionnant… étonnant.

J’aimerais tant montrer la taille, l’ampleur de l’entreprise et de notre capacité sculpter notre environnement.

La colonie excavatrice du minéral течностθра1 sur Damer — une planète de trois quarts la taille de la Terre — elle a cette charactère épouvantable. La planète est en grande partie une sphére sans intérêt, sans marque unique. Par contre ce fait et bizarre tout seul, car la planète n’a que quelques petits cratères d’impact. La surface est couverte d’une couche fine de grains jaune-rouge de sable.

De nombreux traits, qu’on remarque en les voyants au fenêtre de sa navette spatiale, marquent des ravins qui s’ouvrent dans des cañons souterrains, et dans de larges gorges creusées pendant des centaines d’années par les eaux sédimentées en cherchant un chemin vers des lacs souterrains. La superficie de la planète ne laisse aucun trace de ces lacs; les fleuves, par contre, laissent des courbes verte-bleues fines comme la toile d’arragné sur la face lise de sable jaune-rouge.


  1. Parfois écrit « течностфра ». ↩︎